Archives du blog

Les comparateurs d’assurance en ligne et l’obligation d’information

« La règlementation relative aux sites comparateurs en ligne, issue du décret du 22 avril 2016, a de nouveau évolué avec le décret n° 2017-1434 du 29 septembre 2017 relatif aux obligations d’information des opérateurs de plateformes numériques. Elle entrera en vigueur au 1er janvier 2018.
Nous avons comparé les comparateurs d’assurance en ligne quant au respect de leurs obligations légales relatives à l’information de l’utilisateur. »

Source : https://www.inc-conso.fr/content/les-comparateurs-dassurance-en-ligne-et-lobligation-dinformation

Médiation de l’Assurance

« Vous avez un différend avec votre assureur et le litige persiste ?
La Médiation de l’Assurance peut vous aider »

Source : https://www.mediation-assurance.org/Bienvenue

Le co-voiturage : mieux connaître vos droits avec la CSF

Source : Le co-voiturage : mieux connaître vos droits avec la CSF | Institut national de la consommation

Convention AERAS : comment emprunter avec un risque aggravé de santé ? 

La convention AERAS est révisée le 2 septembre 2015 pour instaurer un droit à l’oubli des pathologies cancéreuses. AERAS (s’Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé) a pour objectif de favoriser l’accès à l’assurance des personnes présentant un risque aggravé de santé. En effet, lors de la souscription d’un crédit bancaire, l’emprunteur présentant un risque supérieur à la moyenne ne peut souscrire d’assurance emprunteur au tarif standard.

Source : Convention AERAS : comment emprunter avec un risque aggravé de santé ? | Le portail des ministères économiques et financiers

Assurance santé chien-chat en 15 questions-réponses

Propriétaires bailleurs : la sérénité à portée de main

Cancer : les assureurs prêts au droit à l’oubli

« Aimants familiaux » : engagement de haut-niveau avec APRIL

Expertise médicale et accident de la route : 10 erreurs

On dit classiquement que le but d’une expertise médicale est d’évaluer l’ensemble des postes de préjudices de la victime. Dans l’absolu, c’est vrai mais, dans la réalité, les choses sont bien différentes et la personne en situation de handicap, blessée dans le cas d’un accident de la route, peut être piégée par des erreurs dues à la complexité de la procédure d’indemnisation du dommage corporel, sans compter que les rapports rendus par certains experts ne reflètent absolument pas la réalité de la totalité des préjudices.

Source : http://informations.handicap.fr/art-expertise-medicale-56-7494.php